Le 10 juin Douchka et moi prenons la routeplein nord: 1900km séparent Lima de Quito
Leonce roule à merveille...cela fait plaisir !
Le seul panneau de signalisation au Pérou que j'ai appris à respecter, c'est celui-ci:
Tous les autres ne sont respectés par personne !
Douchka est une super-copilote et reprend son rôle très au sérieux: elle ne quitte pas la route des yeux
(pas comme moi !)
Dans le nord du Pérou réapparaissent les signes d'exploitation pétrolière;
pour rappel, le Pérou produit un peu de pétrole, mais les 3 plus importants sont dans l'ordre:
le Vénézuela (où le litre d'eau coûte plus cher que le litre d'essence: 8 centimes)
le Brésil (le litre est à 1 euro)
l'Ecuador (la bonne surprise va arriver...)
Arrivée à Capo Blanco, port de pêche connu pour la pêche sportive
détient le record du plus gros poisson pêché, un marlin de 700kg ! (fini ton assiette, Toto !)
La dernière ville péruvienne avant la frontière c'est Tumbes puis c'est le passage de la frontière
qui se fait sans problème; on me signale juste qu'il me faudra prendre un SOAT, assurance pour Leonce de transit;
Passée la frontière, le paysage change du tout au tout:
ce ne sont plus que des étendues de bananiers à perte de vue.
Chiquita...c'est bien ici !
Douchka retrouve le plaisir de manger la crême de noix de coco comme au Brésil
Arrivée à Guayaquil, la plus grande ville du pays; l'occasion de flâner le long du Malecon, `
une promenade de 2km aménagée le long du rio Guayas (d'où le nom de la ville)
avec des basins, jeux pour enfants, restaurants...
N'aimant pas dormir dans ces grandes villes, je poursuis jusque Babahoyo, à 80km plus au nord.
Le matin je cherche à trouver ma SOAT; aucun établissement n'accepte de m'en délivrer;
il faut retourner à Guayaquil, la maison mère de la société d'assurance !
D'abord je me console avec une céviche de moules
puis je prend le bus, pour établir cette sacrée assurance; mission accomplie après 4 heures
de retour, je me trouve une petite place tranquille où jouent une ribambelle d'enfants.
Je leur apprends à faire des avions en papier et la place se transforme en un aéroport international...
ça vole dans tous les sens; à la tombée de la nuit une maman m'apporte un plat écuadorien comme souper.
L'opération "faire le plein" est un réel plaisir ici
Je continue ma remontée vers le nord et m'arrête sur une place de village où les riverains jouent à une sorte de volley-ball à 3 mais le filet est plus haut (2m80 au lieu de 2,43 au volley)
Je découvre à l'arrière mon paramoteur avec 3 "fractures" (un ralentisseur que j'ai vu au dernier moment)
Je cherche un soudeur d'aluminium qui passe 3 heures à réparer mon chassis.
Le lifting se termine par la traditionnelle photo de sa famille.
La route qui remonte au Nord, arrivée à la hauteur de Quito, bifurque d'un seul coup vers l'est et affronte la cordillère pendant 50km pour arriver à 3000m.
Quito est une ville très agréable; déjà les nuits sont plus fraîches et donc on y dort bien mieux.
Je m'installe dans le centre de Quito, au bord du parc Carolina (il y a un poste de police à 50m) et Douchka passe ses journées à courir; moi j'assiste au match de football retransmis dans le parc sur écran géant: Ecuador-Honduras; l'ambiance est passionnée et voit la victoire de l'Ecuador 2 à 1.
J'en profite pour nettoyer Leonce et faire la vidange (déjà 65.000km depuis mon départ)
Johanne, une amie québecoise que j'ai rencontré à Montréal en 1978 et n'ai plus vu depuis, arrive ce soir pour découvrir l'Ecuador avec moi; pas sûr de la reconnaître...
elle va mettre son manteau jaune fluo...(promis je prendrai la photo)
A +
Leonce roule à merveille...cela fait plaisir !
Le seul panneau de signalisation au Pérou que j'ai appris à respecter, c'est celui-ci:
Tous les autres ne sont respectés par personne !
Douchka est une super-copilote et reprend son rôle très au sérieux: elle ne quitte pas la route des yeux
(pas comme moi !)
Dans le nord du Pérou réapparaissent les signes d'exploitation pétrolière;
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| Leonce aimerait bien se désaltérer...! |
le Vénézuela (où le litre d'eau coûte plus cher que le litre d'essence: 8 centimes)
le Brésil (le litre est à 1 euro)
l'Ecuador (la bonne surprise va arriver...)
Arrivée à Capo Blanco, port de pêche connu pour la pêche sportive
détient le record du plus gros poisson pêché, un marlin de 700kg ! (fini ton assiette, Toto !)
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| au large de Capo Blanco: des barques dont une de pélicans et une plateforme pétrolière |
La dernière ville péruvienne avant la frontière c'est Tumbes puis c'est le passage de la frontière
qui se fait sans problème; on me signale juste qu'il me faudra prendre un SOAT, assurance pour Leonce de transit;
Passée la frontière, le paysage change du tout au tout:
ce ne sont plus que des étendues de bananiers à perte de vue.
Chiquita...c'est bien ici !
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| les régimes sont protégés par des sacs |
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| moi je me charge de l'eau de coco... |
Arrivée à Guayaquil, la plus grande ville du pays; l'occasion de flâner le long du Malecon, `
une promenade de 2km aménagée le long du rio Guayas (d'où le nom de la ville)
avec des basins, jeux pour enfants, restaurants...
N'aimant pas dormir dans ces grandes villes, je poursuis jusque Babahoyo, à 80km plus au nord.
Le matin je cherche à trouver ma SOAT; aucun établissement n'accepte de m'en délivrer;
il faut retourner à Guayaquil, la maison mère de la société d'assurance !
D'abord je me console avec une céviche de moules
 |
| beaucoup d'habitations sont sur pilotis |
puis je prend le bus, pour établir cette sacrée assurance; mission accomplie après 4 heures
(dont 2 1/2 de bus à regarder le paysage)
de retour, je me trouve une petite place tranquille où jouent une ribambelle d'enfants.
Je leur apprends à faire des avions en papier et la place se transforme en un aéroport international...
ça vole dans tous les sens; à la tombée de la nuit une maman m'apporte un plat écuadorien comme souper.
L'opération "faire le plein" est un réel plaisir ici
 |
| léonce se prend 40 litres.. |
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| et comme je l'invite, j'en ai pour 8 euros ! |
Je continue ma remontée vers le nord et m'arrête sur une place de village où les riverains jouent à une sorte de volley-ball à 3 mais le filet est plus haut (2m80 au lieu de 2,43 au volley)
 |
| et l'on peut coller le ballon... |
Je cherche un soudeur d'aluminium qui passe 3 heures à réparer mon chassis.
Le lifting se termine par la traditionnelle photo de sa famille.
La route qui remonte au Nord, arrivée à la hauteur de Quito, bifurque d'un seul coup vers l'est et affronte la cordillère pendant 50km pour arriver à 3000m.
Quito est une ville très agréable; déjà les nuits sont plus fraîches et donc on y dort bien mieux.
Je m'installe dans le centre de Quito, au bord du parc Carolina (il y a un poste de police à 50m) et Douchka passe ses journées à courir; moi j'assiste au match de football retransmis dans le parc sur écran géant: Ecuador-Honduras; l'ambiance est passionnée et voit la victoire de l'Ecuador 2 à 1.
J'en profite pour nettoyer Leonce et faire la vidange (déjà 65.000km depuis mon départ)
Johanne, une amie québecoise que j'ai rencontré à Montréal en 1978 et n'ai plus vu depuis, arrive ce soir pour découvrir l'Ecuador avec moi; pas sûr de la reconnaître...
elle va mettre son manteau jaune fluo...(promis je prendrai la photo)
A +
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